Tu travailles d’arrache-pied, chaque jour. Tu offres de la qualité, tes clients sont satisfaits. Et pourtant… il reste trop peu à la fin du mois. Ça te parle? Alors il est peut-être temps de faire ce que chaque restaurateur déteste: regarder ton propre menu d’un œil critique.
Chaque plat ou article sur votre carte a eu, à un moment donné, une raison d’exister. Un classique, un favori des habitués, ou simplement un incontournable de toute carte de restaurant.
Mais si vous regardez les chiffres? Vous verrez souvent autre chose. Des plats rarement commandés ou qui coûtent plus qu’ils ne rapportent.
Avec des outils comme notre système Unipage, vous pouvez voir exactement combien d’unités vous vendez par semaine. Et cet aperçu vaut de l’or. Car il vous montre ce qui fonctionne vraiment… et ce qui prend inutilement de la place.
Une carte étoffée semble accueillante, mais c’est rarement le cas. Chaque plat en plus implique des ingrédients supplémentaires, plus de stock, plus de gaspillage et plus de charge en cuisine. Surtout dans les petites cuisines ou avec peu de personnel, une carte trop large ralentit le service et augmente le stress.
Cela se ressent en salle, se goûte dans les assiettes et se voit clairement à la fin du mois.
Le piège, c’est souvent l’ambition. Vous voulez plaire à tout le monde, alors votre carte s’allonge. Un poisson en plus, une option végétarienne "au cas où", une suggestion jamais retirée…
Et vous vous retrouvez avec une carte remplie de plats peu commandés, mais qui exigent du temps, de l’espace et des ingrédients. Cela donne l’illusion d’un vaste choix, mais en réalité, cela vous complique la vie.
Une carte trop longue ralentit votre cuisine. Chaque plat en plus, c’est plus de mise en place, plus d’ingrédients spécifiques, plus de risques d’erreur, des temps d’attente plus longs et souvent: plus de pertes. Légumes non utilisés à temps, poisson mal écoulé, sauces à garder en petites quantités… Autant de petites fuites qui, ensemble, pèsent lourd dans votre comptabilité.
Ce que vous retirez crée de l’espace: pour du calme, pour vous concentrer, pour de nouveaux plats qui collent mieux à votre concept actuel. Et pour une équipe qui sait exactement ce qu’on attend d’elle, sans que chaque service ne ressemble à un parcours du combattant.
Mieux vaut vingt plats servis avec conviction que trente plats tous moyens.
Le problème n’est pas tant la péremption que l’immobilisme. Votre congélateur est plein, l’offre est impressionnante… mais honnêtement: une bonne partie de vos snacks ne se vendent presque jamais. Et c’est bien là le souci.
Chaque snack qui ne tourne pas occupe de la place, ralentit le service et oblige le personnel à expliquer ou préparer à part.
Beaucoup de friteries surestiment l’importance d’une carte variée. Ce que les clients veulent vraiment? Leurs choix habituels. Rapides, chauds, bien cuits. C’est dans le top 10 des snacks populaires que se trouvent vos meilleures marges.
🔗 Découvrez ici les résultats de l’enquête Reddit sur les snacks les plus populaires
En supprimant discrètement quelques articles faibles, vous créez de l’espace: dans vos stocks, votre tête, et vos habitudes. Vous travaillez plus vite, donnez moins d’explications, et votre personnel sait exactement où tout se trouve. Cela améliore la rentabilité, sans nouvel achat ni investissement.
Encore une fois, à Unipage, vous voyez exactement combien vous vendez de chaque article. Juste ce qu’il vous faut pour faire les bons choix.
Dans les cafés, coffee bars ou lunch bars, le même schéma se répète: une carte simple à la base devient petit à petit un fourre-tout. Quatre toasts différents, cinq cafés spéciaux, smoothies, soupes, une série de desserts…
Tout cela part d’une bonne intention, mais au final, personne ne sait vraiment ce qui se vend.
Dans ces types d’établissements, la marge ne vient pas des volumes, mais de la rapidité et de la marge par commande. Plus vous devez peser, expliquer ou remplir, plus le service ralentit. Et cela se ressent au comptoir, dans la file d’attente, et à la fin de votre journée.
Analysez donc votre carte avec un œil critique. Qu’est-ce qui se vend souvent? Qu’est-ce qui est rapide à préparer, limite les déchets et se combine bien?
Et à l’inverse: qu’est-ce qui ne se vend que par temps de pluie ou par grosse faim, mais reste sur la carte toute l’année?
Plus votre offre est simple, plus vous travaillez efficacement. Et c’est là que se trouvent vos bénéfices.
L’épisode d’Andermans Zaken sur la boulangerie Laurens le montre très bien: des dizaines de pains et de pâtisseries, dont certains vendaient à perte. Idem pour l’horeca.
Il faut parfois oser supprimer. Pas parce qu’un plat est mauvais, mais parce qu’il n’a plus sa place aujourd’hui. Une carte n’est pas un monument: elle doit vivre et évoluer.
Tout commence par mesurer. Souvent, vous ne savez même pas vraiment ce qui se vend ou non, ni quelle est la marge réelle par article. C’est normal, ce n’est pas facile à suivre manuellement. Les caisses numériques Unipage le font pour vous. Par date, vous voyez combien d’articles vous avez vendus. Et c’est seulement alors que vous obtenez les insights nécessaires pour améliorer votre rentabilité.
Pas besoin d’une carte réduite à l’os pour être rentable. Mais il faut savoir distinguer ce qui rapporte de ce qui vous freine. Plus de choix semble accueillant, mais c’est souvent ce qui vous empêche d’avancer.
Moins de stress, plus de contrôle en cuisine et de meilleurs résultats à la fin du mois? Cela commence par une seule chose: oser tailler dans le gras.
Nous vous contacterons dans les 24 heures pour une démo